Quel est l'objectif de ce concours lancé pour la seconde fois par la FREE ?

Ce deuxième concours permet de renforcer la sensibilisation au sujet de la vocation et de faire davantage de lien entre les candidats et leurs Eglises FREE.

Quels sont les critères pour participer ?

Il n’y a pas de critère d’âge, l’important est la vocation de la personne. Il s’agit d’envoyer une candidature d’ici au 31 mars 2025 à l’adresse : vocation@lafree.ch, en fournissant une présentation écrite (5 à 10 lignes) ou audio/visuelle (deux minutes) de son projet en lien avec sa vocation personnelle, même si tout n’est pas encore clair.

Il faut y joindre une lettre de recommandation de l’Église FREE fréquentée et les informations suivantes : nom et prénom, date de naissance, adresse postale, e-mail, téléphone, lieu de formation souhaité (HET-PRO, Start Up Ministries, Faculté Libre de Théologie Evangélique à Vaux-sur-Seine, ou ailleurs). Sans oublier une photo.

Est-ce que seuls les projets dans le ministère pastoral peuvent être retenus ?

Non, pas exclusivement. Une personne avec une vocation dans le domaine missionnel ou missionnaire, diaconal, artistique, dans l’enseignement ou le leadership peut candidater.

Combien de gagnants seront désignés cette fois ?

La diversité est recherchée mais le nombre se limite toujours à quatre au total.

Les jeunes retenus seront au bénéfice d'une bourse d'étude, mais également d'un accompagnement dans leur projet. Comment se déroule ce coaching ?

L’année dernière, la dizaine de participants au concours (au vu des dossiers) a eu l’opportunité d’avoir un entretien personnalisé. Celui-ci a permis de donner un retour plus précis aux candidats, ainsi que des éléments leur permettant de mieux discerner la suite de leur cheminement avec Dieu, en lien avec leur vocation et dans leur rapport avec l’Église. Cette année, le coaching sera également orienté selon les dossiers présentés.

Que deviennent les quatre gagnants du Concours de l’année passée ?

Nous avions octroyé des bourses à quatre candidats. Parmi eux, une personne a renoncé à poursuivre les études mais les trois autres sont toujours en cours de formation.