Il y a porte et porte…

Jacques Blandenier vendredi 02 septembre 2022

 Une porte de prison ouverte. Une porte d'Eglise fermée. Cette « évasion » de l'apôtre Pierre nous interpelle. Elle nous dit que les fermetures et les blocages ne sont pas toujours là où on les attend.

Texte biblique

En ce temps-là, le roi Hérode se mit à persécuter quelques-uns des membres de l’Eglise. Il fit mourir par l’épée Jacques, le frère de Jean. Puis, quand il vit que cela plaisait aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. […] Hérode le fit mettre en prison et chargea quatre groupes de quatre soldats de le garder. Il pensait le faire juger en public après la Pâque. Pierre était donc gardé dans la prison, mais les membres de l’Eglise priaient Dieu pour lui avec ardeur.

La nuit précédant le jour où Hérode allait le faire juger en public, Pierre dormait entre deux soldats. Il était lié avec deux chaînes, et des gardiens étaient à leur poste devant la porte de la prison. Soudain un ange du Seigneur apparut et une lumière brilla dans la cellule. L’ange toucha Pierre au côté, le réveilla et lui dit : « Lève-toi vite ! »

Les chaînes tombèrent alors de ses mains. Puis l’ange lui dit : « Mets ta ceinture et attache tes sandales ». Pierre fit ainsi, et l’ange lui dit : « Mets ton manteau et suis-moi ».

Pierre sortit de la prison en suivant l’ange. Il ne pensait pas que ce que l’ange faisait était réel : il croyait avoir une vision. Ils passèrent le premier poste de garde puis le second et arrivèrent à la porte de fer qui donne sur la ville. Cette porte s’ouvrit d’elle même devant eux et ils sortirent. Ils s’avancèrent dans une rue et, tout à coup, l’ange quitta Pierre.

Alors Pierre se rendit compte de ce qui était arrivé et dit : « Maintenant je vois bien que c’est vrai, le Seigneur m’a envoyé son ange, il m’a délivré du pouvoir d’Hérode et de tout le mal que le peuple juif me souhaitait ».

Quand il eut compris la situation, il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean surnommé Marc. De nombreuses personnes s’y étaient réunies et priaient. Pierre frappa à la porte d’entrée et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour ouvrir. Elle reconnut la voix et Pierre et en fut si joyeuse que, au lieu d’ouvrir la porte, elle courut à l’intérieur pour annoncer que Pierre se trouvait dehors. Ils lui dire : « Tu es folle ! » Mais elle assurait que c’était bien vrai. Ils dirent alors : « C’est son ange ».

Cependant Pierre continuait à frapper.

Quand ils ouvrirent enfin la porte, ils le virent et furent saisis d’étonnement. De la main il leur fit signe de se taire et leur raconta comment le Seigneur l’avait conduit hors de la prison. Il dit encore : « Annoncez-le à Jacques et aux autres frères ». Puis il sortit et s’en alla ailleurs.

(Actes 12.1-17, Bible en français courant)

Comme un rêve

Ce récit relate un événement qui s'est passé en l’an 44, année de la mort d’Hérode Agrippa survenue peu après l’événement dont vous avez lu le récit. Les deux premiers versets nous présentent une Eglise endeuillée : l’un des plus proches amis de Jésus, témoin privilégié de sa vie, Jacques, fils de Zébédée et frère de Jean, est arrêté et exécuté. Hérode Agrippa, ce roi odieux ne disposant guère d’autre pouvoir que celui de nuire, a vu sa cote de popularité grimper grâce à ce forfait. Soucieux d’améliorer son score dans les sondages, il monte un grand coup : arrêter Pierre, principal leader de l’Eglise de Jérusalem. On comprend que les chrétiens se rassemblent désormais en groupes clandestins – en l’occurrence « un groupe nombreux » – pour prier ardemment face à l’épreuve et se consoler mutuellement (5b, 12).

Hérode n’est pourtant pas aussi fort qu’il l’imagine, malgré les seize (!) soldats et les chaînes pour garder Pierre sans aucun risque. D’ailleurs, les derniers versets du chapitre en donneront la démonstration – une mort foudroyante et mystérieuse que confirme Josèphe, historien contemporain des faits (v. 20-23). Quant à Pierre, après son reniement, il a fait un cheminement spirituel qui l’a profondément transformé. Les fers aux pieds, attendant une sentence de mort programmée, il dort à poings fermés. Je me demande quelle serait la qualité de mon sommeil dans le couloir de la mort ?

Et soudain, l’inattendu ! Un ange est là, arrivé on ne sait trop comment. Ne l’imaginez pas avec des ailes ou une auréole, comme sur les images pieuses. Un homme, simplement (ange signifie envoyé), illuminé de l’intérieur au point que la cellule resplendit. Et Pierre ne réagit pas. Il faut que l’homme le secoue pour le réveiller : « Pierre, dépêche-toi, mets ta ceinture, attache bien tes sandales, n’oublie pas ton pardessus » – un peu comme un gamin que sa maman houspille pour qu’il n’arrive pas en retard l’école ! Et Pierre a l’air d’obéir comme un automate.

Les seize gardes ? Ni vu ni connu, évanouis. Mais il y a la porte de fer. Une porte de prison, c’est du solide, inviolable, par définition. Quand on dit d’une personne qu’elle est « aimable comme une porte de prison », ce n’est pas franchement flatteur ! Mais pour Pierre et son lumineux accompagnateur, pas de souci, tout se passe comme si une cellule photo-électrique fonctionnait à la perfection – on se dirait à l’entrée d’une de nos grandes surfaces ! Aucun commentaire pourtant. Dans l’Evangile, les miracles sont discrets. Et les voici soudain dehors. « Mais, je rêve ? » se dit Pierre, qui s’attend à se réveiller sur le sol dur de sa cellule (v. 9). Il a sûrement fallu qu’il se pince pour y croire !

Puis l’envoyé disparaît comme il est venu. Mission accomplie ! Voici Pierre livré à lui-même dans la vieille ville, aux ruelles étroites, tortueuses, sans le moindre éclairage. Il prend maintenant conscience de ce qui s’est passé : Dieu l’a délivré par son bras puissant ! Il est libre ! (v. 11) N’empêche, il est un détenu en cavale. Dès lors, il n’a plus rien du somnambule, et n’hésite pas : il faut aller trouver sans tarder ceux et celles qui prient pour lui, leur dire qu’ils ont été exaucés, puis entrer en clandestinité.

Prière fervente, mais…

Pierre connaît une adresse, lieu habituel d’un groupe de prière. Chez une femme, la maman de son ami Marc. Ça n’a l’air de rien, mais un groupe mixte réuni le soir dans un domicile privé, c’est révolutionnaire dans le contexte religieux de l’époque, tant juif que païen. Notez qu’une réelle et totale intégration des femmes dans tous les aspects de la vie de l’Eglise, loin d’être une nouveauté contaminée par un féminisme suspect, n’est autre qu’un retour aux sources, oubliés depuis des siècles, y compris par le protestantisme évangélique !

Voici donc notre Pierre devant l’humble porte d’une maison de la vieille Jérusalem, dans le silence nocturne. A l’intérieur, on prie pour lui, avec larmes et ferveur. Soudain, on entend frapper et, sans transition, la paix du recueillement fait place, j’imagine, à un mouvement d’effroi. A une heure pareille, ça ne peut être que les flics !

Alors, courageusement, on envoie la servante voir ce qui se passe. Sans doute pas très rassurée, elle demande timidement : « C’est qui ? » Rhode… Il n’y a guère d’autres servantes de l’Antiquité dont on connaisse le nom ! Renommée méritée par son courage. Et puis, elle est bien intégrée au groupe de prière, puisqu’elle reconnaît d’emblée la voix de Pierre ! Un peu tête en l’air quand même ? Car elle oublie d’ouvrir et s’empresse d’aller partager joyeusement la bonne nouvelle avec ses amis. Mais la pauvre est refroidie par ces fervents intercesseurs qui n’ont pas l’air de s’attendre à être exaucés : « Ça va pas, la tête ? » Elle insiste, mais on se met à évoquer diverses hypothèses dont aucune ne paraît envisager un miracle : un ange, le fantôme de Pierre, une hallucination de la servante chauffée à blanc par la ferveur des intercesseurs…

Et pendant ce temps, le pauvre Pierre continue de frapper tout en jetant un œil à gauche et à droite, craignant l’arrivée de gendarmes partis à sa recherche. Il paraît plus compliqué de franchir la petite porte d’une maison de chrétiens en prière que d’ouvrir la porte infranchissable de la prison ! Quand enfin elle s’ouvre, c’est la stupeur ! (v.16) On s’attendait à tout, sauf à une réponse à la prière ! Et la surprise se transforme en allégresse. Au point que Pierre, d’un geste, doit calmer ces « Alléluia ! » propres à ameuter le quartier. Brièvement, il leur raconte ce qui s’est passé, sans entrer dans les détails. La fin de l’histoire est un peu abrupte et laisse deviner un sentiment mitigé, comme s’il y avait un froid… Pierre a l’air déçu, on le serait à moins ! Il ordonne plutôt que Jacques (le frère du Seigneur) et les autres soient informés, puis il les quitte sans dire où il va.

Sans en avoir l’air, Luc, l’auteur du livre des Actes, aime manier l’ironie. La scène n’est guère glorieuse pour ces premiers chrétiens si souvent idéalisés ! A moins que Luc n'en profite pour nous tendre un miroir ?… Pensons à certaines de nos réunions de prière, précédées d’une liste plus ou moins longue de « sujets de prière » qu’on répète de semaine en semaine. Qu’en attend-on, sincèrement ? Nos communautés ressemblent parfois plus à ce groupe replié sur lui-même qu’à la glorieuse Eglise des premiers jours.

La porte infranchissable n’est pas là où on l’imagine

Deux portes… L’une, infranchissable, bien au-delà des moyens d’un prisonnier enchaîné. Face à l’impossible, Pierre a choisi la bonne attitude : confiance, sérénité de se savoir malgré tout dans la main de Dieu. Et voilà que cette porte s’ouvre toute seule à deux battants. L’autre, la porte d’une maison privée, dont le verrou sauterait d’un simple coup d’épaule. Inutile d’attendre un miracle, elle restera fermée si la prière est un alibi plutôt qu’un acte de foi conduisant à l’action.

La première suggère la puissance de l’enfermement dans lequel nous nous trouvons tous, croyants ou non. Si cette humanité avait pu se libérer elle-même, Dieu n’aurait pas eu besoin d’envoyer son Fils souffrir jusqu’à la mort sur la croix. Et, à l’échelle de chacune de nos vies, il y a des circonstances douloureuses, bloquées « par seize soldats ! » sur lesquelles nous n’avons aucune prise : perte d’un emploi, maladie en phase terminale, conflits relationnels sans issue… Et d’autres aussi, dans notre vie intérieure : angoisses, blocages, sentiments paralysants d’incapacité, de culpabilité. Si, avec Pierre dans la sérénité de son sommeil, nous comprenons que nous n’y pouvons rien, confions notre cause à Celui qui, précisément, est venu appeler à lui ceux qui ploient sous un trop lourd fardeau, afin de leur donner du repos.

Il y a des « portes de prison » que nous n’ouvrirons pas tout seuls, avec ou sans les prières, même les plus ferventes. Lorsqu’il y a dans nos vies des enfermements que ni notre intelligence, ni notre volonté, ni nos émotions, ni même notre communauté ne pourront vaincre, apprenons la confiance. Dieu seul peut agir – même s’il n’est pas dans sa volonté de toujours le faire (voyez Jacques).

Et puis, il y a l’autre porte, une porte… à notre portée ! Mais si nous demeurons repliés sur nos habitudes et notre piété routinière, notre première préoccupation sera notre sécurité. Craignant d’être bousculés, allons-nous passer à côté de ce que Dieu nous a préparé ? La porte de la maison de Marie, ce n’est pas Dieu qui l’ouvre, car c’est du ressort de la communauté des croyants. Il nous veut adultes, disponibles pour l’inattendu et prêts à l’action, comme l’humble et courageuse Rhode.

« Que ta volonté soit faite ! » Qu’est-ce à dire ? Soumission, démission ? Posons-nous la question : ici et maintenant, par qui la volonté de Dieu va-t-elle être faite ? Nous arrive-t-il de songer qu’il y a des prières que Dieu nous demande d’exaucer nous-mêmes ? Que notre prière ne soit ni routine, ni alibi ! Que notre foi soit ouverture, espérance… et action !

Mais si, à l’instar du groupe rassemblé chez Marie, cet équipement reste au vestiaire, si la prière se borne à fermer les yeux et joindre les mains, nous risquons de ne pas voir et entendre ceux qui, à notre porte, sont à la recherche d’un peu de sécurité et de chaleur humaine, d’apaisement et de confiance retrouvée. Ils existent, pas loin de chacun de nous.

A Dieu d’accomplir l’impossible. A nous de découvrir ce qu’il nous rend capables de faire !

  • Encadré 1:

    Pourquoi ?

    En lisant ce beau récit de la délivrance de Pierre, il est difficile d’éviter un brûlant « Pourquoi ? » Pourquoi la porte de la prison de Jacques ne s’est-elle pas ouverte, pourquoi Dieu ne lui a-t-il pas envoyé d’ange ? Il aurait pu, puisqu’il l’a fait pour Pierre ! De ces deux amis, tous deux si proches de Jésus, l’un est exécuté, l’autre libéré. L’intercession pour l’un a porté du fruit, et non pour l’autre.

    L’Eglise a-t-elle prié avec moins de ferveur pour Jacques que pour Pierre ? (Faux problème : le récit montre que l’intercession pour Pierre n’a pas été particulièrement brillante !) Il semble légitime de chercher des explications. Le texte n’en donne aucune, n’en inventons pas. Pierre, certainement avait une mission à accomplir, et Jésus lui avait promis le martyre au terme d’un long combat (Jn 21.19). Plus discret peut-être, Jacques a suivi son maître avec la même fidélité que Pierre, a participé à la même « école de disciples », a entendu les mêmes paraboles, a assisté aux mêmes miracles, y compris sur le Mont de la Transfiguration. Son témoignage n’aurait-il pas pu avoir la même richesse que celui de son frère, auteur du quatrième évangile ? Stériles spéculations !

    A vrai dire, devant la douleur et la joie de ces deux situations décrites dans le même chapitre des Actes, la recherche d’explications s’essouffle. Ni un diplôme en théologie, ni des expériences spirituelles sensationnelles n’y aideront. Au-delà d’un questionnement sur une situation particulière d’il y a deux mille ans, nous sommes renvoyés à des mystères que nous avons rencontrés ou rencontrerons un jour ou l’autre dans notre vie. Douloureux, troublants, injustes. Et à certains de nos « pourquoi ? », il n’y a pas plus de réponse qu’au « lama » de Jésus à Golgotha (Mt 27.46). Un silence qui attend en vain un « parce que », incapable de consoler.

    Il est douloureux de vivre sans explication à chaque mystère rencontré. Mais nous apprenons tôt ou tard que cela fait partie de notre condition humaine, chrétienne ou non. « Maintenant, nous ne connaissons qu’en partie », écrit Paul (1 Co 13.12). En attendant, vivre avec certains silences fait partie de notre croissance vers plus de maturité – c’est ce qu’un autre Jacques veut nous aider à découvrir (Jc 1.2-4). Mais dans ces trois versets, Jacques ne précise pas à quel rythme se succèdent les étapes mentionnées vers la plénitude : des semaines, des mois, des années, toute une vie ?

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