Si, dans le domaine de la santé, on avait mis en vente un médicament qui n’avait que le dixième des effets secondaires négatifs qu’a le libéralisme dans le domaine de la théologie, ça fait longtemps qu’on aurait arrêté le médicament en question. Et vous pouvez être certains que ceux qui auraient continué à vendre ou à proposer ce médicament en connaissant ses effets secondaires, seraient mis en procès.
Des effets secondaires toujours plus dévastateurs
En théologie protestante, non ! On remet tout en question, sauf le libéralisme… alors même que ses effets secondaires sont toujours plus dévastateurs, et sautent aux yeux de manière criante.
Le grand problème, l’immense problème, du protestantisme libéral, c’est l’orgueil et la fierté. On ne se remet pas en question. On se situe au-dessus… et on accuse ceux qui osent apporter un bémol à leur idole d’être soit un peu trop « simplets », soit un peu trop « prudes »... et quand ils sont un peu les deux à la fois, on dira qu’ils sont un peu trop « évangéliques » !
Le protestantisme libéral va dans le mur, depuis longtemps, mais il ne le voit pas, aveuglé qu’il est de sa présomption et de sa suffisance.
Quels fruits ?
On reconnaît un arbre à ses fruits. Les fruits du libéralisme ? Absence de foi, absence de jeunes, absence d’argent, absence de fidèles, absence de ministères. Quand aura-t-on le courage de reconnaître que le libéralisme est un poison qui tue à petit feu les Eglises protestantes ?
Et qui osera porter plainte contre les pasteurs et théologiens qui, en voyant les effets dévastateurs connus de ce prétendu médicament, continuent de le proposer, dimanche après dimanche, à leurs paroissiens, toujours plus vieux et moins nombreux.
C’est un scandale.
C’est tout.
Gilles Geiser, pasteur sans doute un peu trop « simplet » et un peu trop « prude »