Du métier de pasteur·e. Et vous.
Philippe Henchoz, pasteur dans l’Eglise évangélique (FREE) de Meyrin, partage sa réflexion à propos du ministère pastoral et de ses défis.
Philippe Henchoz, pasteur dans l’Eglise évangélique (FREE) de Meyrin, partage sa réflexion à propos du ministère pastoral et de ses défis.
Quelle est cette force qui sous-tend notre monde et lui donne sa cohésion, et dont les penseurs de tous temps ont cherché à comprendre l'origine? Pour le physicien, théologien et pasteur Jean-René Moret, cette question n'est pas étrangère à Noël....Ce texte d'opinion est d'abord paru dans le quotidien 24H du 21 décembre.
Genève, cité des droits de l’Homme, a régulièrement été remise à l’ordre pour des infractions aux principes de la liberté religieuse. Rappelons quelques épisodes, cherchons à les comprendre et tirons quelques conclusions(1).
La « culture de l’erreur » qui consiste à ne pas sanctionner une erreur, afin de la démasquer et de la corriger, est particulièrement bénéfique dans les domaines où la sécurité doit continuellement être améliorée. Elle est également très présente dans la Bible. Le texte de Jean-René Moret, qui a paru dans le quotidien vaudois « 24 heures », nous propose ici une intéressante démarche apologétique.
Le 28 juin dernier, un Irakien réfugié en Suède a brûlé quelques pages d’un exemplaire du Coran devant une mosquée de Stockholm. Le 12 juillet, au nom de plusieurs pays membres de l’Organisation de coopération islamique, le Pakistan a fait adopter par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU une résolution visant à protéger les textes saints. Quant à Jean-René Moret, pasteur dans l’Eglise évangélique de Cologny (FREE), il explique pourquoi, selon lui, légiférer contre le blasphème ne peut être qu’inutile et nuisible (1).
Cette prise de position du pasteur Jean-René Moret, pasteur dans l’Eglise évangélique de Cologny (FREE), à Genève, a été publiée dans le journal « 24 heures » du 20 mars 2023. Elle rappelle que la médecine est incapable d’opérer des changements de sexe de manière complète. Du coup, il serait préférable d’aider les plus jeunes à s’accepter tels qu’ils sont, plutôt que de leur faire des promesses impossibles à tenir.
Durant l'été 2022, deux Eglises évangéliques genevoises ont reçu une interdiction de procéder à des baptêmes dans le lac Léman. Pour le Département de la sécurité, de la population et de la santé (DSPS), le baptême est assimilé à un culte. Et la loi sur la laïcité exige qu'un culte se déroule dans un endroit privé. Ainsi, à Genève, seules les organisation religieuses « admises à avoir des relations avec l'Etat » ont le droit de demander une autorisation d'organiser une manifestation cultuelle sur le domaine public. Et ces deux communautés n'en font pas partie. Jean-René Moret, pasteur dans l’Eglise évangélique (FREE) de Cologny, a réagi à cette affaire dans un Courrier des lecteurs de La Tribune de Genève, paru le samedi 20 août dernier.
L’identité humaine est remise en question dans plusieurs domaines : le mariage non limité à l’hétérosexualité, l’identité sexuelle aux multiples variantes, l’antispécisme… Ces remises en question sont intéressantes d’un point de vue intellectuel. Mais, appliquées à notre société, elles en sapent les structures.
Le 7 mars, le peuple suisse sera appelé à se prononcer à propos de l’initiative proposant une modification de la Constitution, afin d’interdire le voilement du visage. Dans un communiqué daté du 8 février 2021, un groupe de citoyens de diverses traditions religieuses propose ici un autre avis que celui exprimé par le Conseil suisse des religions (CSR).
Les mesures sanitaires imposées au Peuple suisse sont en train de provoquer des dégâts sociaux, psychiques et économiques énormes. Il faut à tout prix sortir de cette situation. L’arrivée des vaccins représente le pilier sur lequel une sortie de crise est possible, au travers du développement de l’immunité collective de la population. Or, il y a un fort risque que, même avec le vaccin, le virus se remette à circuler dès que les mesures sanitaires seront relaxées, à cause du taux insuffisant de vaccination. La méfiance d’une partie de la population envers les vaccins est regrettable, mais elle doit être acceptée. Au vu des conséquences limitées du virus sur la population jeune (40 ans), le développement d’une immunité collective naturelle (apprendre à vivre avec le virus) dans cette tranche d’âge, associée à une vaccination la plus large possible, permettrait d’atteindre un taux d’immunité collective nécessaire pour stopper l’épidémie. Cette approche pourrait représenter un chemin moins risqué et moins long pour un abandon des mesures sanitaires et un retour à la vie normale de notre pays, en comparaison à une approche basée uniquement sur le vaccin et des mesures sanitaires d’éradication.
Ingénieur agronome, Roger Zürcher est l’un des avocats de la transition écologique dans les milieux évangéliques de Suisse romande. Autrefois paysan au Tchad, aujourd’hui jardinier et apiculteur amateur dans la région lausannoise, ce chargé de programme à l’ONG FH (Food for the Hungry) à Genève invite à une conversion qui passe par une réconciliation avec le Seigneur, avec soi-même, avec le prochain… et avec la création. Un propos qui dérange (1) !
Souvent, on considère les « assassins au nom d’Allah » uniquement sous l’angle de la psychiatrie. Christian Bibollet, directeur de l’Institut pour les questions relatives à l’islam, proche du Réseau évangélique suisse, montre que les choses sont plus complexes. D’une part parce que souvent ces terroristes ne sont pas conscients de la manière dont le religieux a trouvé sa place dans l’histoire de l’Occident. Et d’autre part parce qu’un certain enseignement coranique dispensé aux enfants, y compris en Suisse, valorise le mépris des non-musulmans et les châtiments à octroyer aux « mécréants ». Christian Bibollet a publié cette prise de position dans l’édition du 11 novembre du quotidien « Le Temps ».
Le 29 novembre, les Suisses voteront sur une initiative populaire « Entreprises responsables – pour protéger l’être humain et l’environnement ». Lafree.info vous propose le point de vue personnel de Markus Meury, membre de l’association ChristNet et ancien coordinateur de StopPauvreté en Suisse allemande.
Croire en Dieu serait irrationnel. Jean-René Moret, pasteur dans l’Eglise évangélique de Cologny (FREE), s’inscrit en faux contre une telle perspective. Il plaide pour que les croyants ne laissent pas aux athées ou agnostiques le monopole de la rationalité. Cette opinion est parue dans le quotidien 24 heures du 3 novembre. Et sur votre site aujourd’hui.