Les Eglises émergentes ou missionnelles sont un phénomène de renouveau dans le christianisme contemporain qui interpelle. Jane Maire, une missionnaire de la Wycliffe, s’y est intéressée à l’occasion d’un congé sabbatique. Elle a discerné 3 caractéristiques propres à ce nouveau mouvement d’Eglises. Elle évoque dans ce troisième article la deuxième : la capacité des Eglises missionnelles à rompre avec une vision dualiste du monde. A lire !

Plus de 1000 personnes se sont rassemblées sur la Place fédérale le 7.7.07, date symbolique marquant la mi-parcours des quinze ans fixés par les Nations Unies pour atteindre les OMD (Objectifs du Millénaire pour le développement). Parmi elles, des personnalités du monde évangélique et des représentants de l’action « Stoppauvreté2015 ».

La Fédération romande d'Eglises évangéliques (FREE) a vécu sa deuxième Rencontre générale le 16 juin 2007 à l’Eglise évangélique libre de la Rochette à Neuchâtel. A cette occasion, un nouveau logo a été adopté. Il a aussi été décidé de modifier les relations de la FREE avec le Réseau évangélique. Enfin une nouvelle Eglise a demandé son adhésion.

A l’occasion d’un temps sabbatique, Jane Maire de l’Eglise évangélique L’Abri à la Neuveville (FREE) a réfléchi au phénomène des Eglises missionnelles ou émergentes. Elle nous propose ici le deuxième volet de sa réflexion. Un volet qui touche à l’une des trois caractéristiques de ce nouveau type d’Eglise : la valorisation de l’incarnation aux dépens de l’attraction. A découvrir.

«Une centaine de personnes qui chantent à tue-tête, ça attire les gens!», s'exclame Pascale Bardet, directrice du choeur de l'Eglise évangélique de la Rochette à Neuchâtel.